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Moon

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This article is about Earth's natural satellite. For moons in general, see Natural satellite (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). For other uses, see Moon (disambiguation) (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Moon

Full moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) seen from Earth

Designations

Designation

Earth I

Alternative names (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Adjectives (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Orbital characteristics (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Epoch (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) J2000 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Perigee (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)362600 km
(356400–370400 km)Apogee (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)405400 km
(404000–406700 km)

Semi-major axis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

384399 km (1.28 ls (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 0.00257 AU (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Eccentricity (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)0.0549[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Orbital period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

27.321661 d (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)
(27 d 7 h 43 min 11.5 s[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))

Synodic period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

29.530589 d
(29 d 12 h 44 min 2.9 s)

Average orbital speed (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

1.022 km/s (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Inclination (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)5.145° to the ecliptic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[2] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[a] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Longitude of ascending node (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Regressing by one revolution (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)in 18.61 years

Argument of perigee (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Progressing by one
revolution in 8.85 years

Satellite of (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[b] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[3] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Physical characteristics

Mean radius

1737.4 km
(0.2727 of Earth's)[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[5] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Equatorial (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)radius

1738.1 km
(0.2725 of Earth's)[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Polar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) radius

1736.0 km
(0.2731 of Earth's)[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Flattening (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)0.0012[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Circumference10921 km (equatorial (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))

Surface area (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

3.793×107 km2
(0.074 of Earth's)Volume (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)2.1958×1010 km3
(0.020 of Earth's)[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Mass (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)7.342×1022 kg
(0.012300 of Earth's)[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[6] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Mean density (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

3.344 g/cm3 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)
0.606 × Earth

Surface gravity (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

1.62 m/s2 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (0.1654 g (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Moment of inertia factor (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

0.3929±0.0009[7] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Escape velocity (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

2.38 km/s
(8600 km/h; 5300 mph)

Sidereal rotation period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

27.321661 d (synchronous (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))

Equatorial rotation velocity

4.627 m/s

Axial tilt (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

North pole right ascension (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

North pole declination (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

65.64°[9] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Albedo (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)0.136[10] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Surface temp. (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)minmeanmaxEquator100 K (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)250 K390 K85°N 150 K230 K[11] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Apparent magnitude (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Angular diameter (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

29.3 to 34.1 arcminutes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[4] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[d] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Atmosphere[12] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Surface pressure (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Composition by volume (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon from Earth

The Moon is Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s only proper (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) natural satellite (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). At one-quarter the diameter of Earth (comparable to the width of Australia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)),[13] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) it is the largest natural satellite in the Solar System (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) relative to the size of its planet, and the fifth largest satellite (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in the Solar System overall (larger than any dwarf planet (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)). Orbiting Earth at an average lunar distance (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of 384,400 km (238,900 mi),[14] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) or about 30 times Earth's diameter, its gravitational influence is the main driver of Earth's tides (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and slightly lengthens (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Earth's day. The Moon is classified as a planetary-mass object (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and a differentiated (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) rocky (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) body, and lacks any significant atmosphere (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), hydrosphere (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), or magnetic field (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Its surface gravity is about one-sixth of Earth's (0.1654 g (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)); Jupiter (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s moon Io (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is the only satellite in the Solar System known to have a higher surface gravity and density.

The Moon's orbit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) around Earth has a sidereal period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of 27.3 days, and a synodic period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of 29.5 days. The synodic period drives its lunar phases (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which form the basis for the months of a lunar calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The Moon is tidally locked (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) to Earth, which means that the length of a full rotation of the Moon on its own axis (a lunar day (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)) is the same as the synodic period, resulting in its same side (the near side (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)) always facing Earth. That said, 59% of the total lunar surface can be seen from Earth through shifts in perspective (its libration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)).[15] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The near side of the Moon is marked by dark volcanic maria (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) ("seas"), which fill the spaces between bright ancient crustal highlands and prominent impact craters (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The lunar surface is relatively non-reflective, with a reflectance (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) just slightly brighter than that of worn asphalt (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). However, because it reflects direct sunlight, is contrasted (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) by the relatively dark sky (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and has a large apparent size (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) when viewed from Earth, the Moon is the brightest celestial object (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in Earth's sky after the Sun (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The Moon's apparent size is nearly the same as that of the Sun, allowing it to cover the Sun almost completely during a total solar eclipse (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

The first manmade object to reach the Moon was the Soviet Union (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s Luna 2 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) uncrewed spacecraft (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1959; this was followed by the first successful soft landing by Luna 9 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1966. The only human lunar missions to date have been those of the United States (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)' NASA Apollo program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which conducted the first manned lunar orbiting mission with Apollo 8 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1968. Beginning with Apollo 11 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), six human landings took place between 1969 and 1972. These and later uncrewed missions returned lunar rocks (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) which have been used to develop a detailed geological understanding (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the Moon's origins (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), internal structure (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and subsequent history; the most widely accepted origin explanation posits that the Moon formed about 4.51 billion years ago, not long after Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), out of the debris from a giant impact (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) between the planet and a hypothesized Mars (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)-sized body called Theia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Both the Moon's natural prominence in the earthly sky and its regular cycle of phases (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) as seen from Earth have provided cultural references and influences for human societies and cultures throughout history. Such cultural influences can be found in language, calendar systems, art, and mythology.

Contents

Name and etymology

See also: List of lunar deities (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon, tinted reddish, during a lunar eclipse (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

During the lunar phases (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), only portions of the Moon can be observed from Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

The usual English (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) proper name for Earth's natural satellite is simply the Moon, with a capital M.[16] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[17] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The noun moon is derived from Old English (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)mōna, which (like all its Germanic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) cognates) stems from Proto-Germanic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) *mēnōn,[18] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) which in turn comes from Proto-Indo-European (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) *mēnsis"month"[19] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (from earlier *mēnōt, genitive *mēneses) which may be related to the verb "measure" (of time).[20] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Occasionally, the name Luna /ˈluːnə/ (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is used in scientific writing[21] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and especially in science fiction to distinguish the Earth's moon from others, while in poetry "Luna" has been used to denote personification of Earth's moon.[22] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Cynthia /ˈsɪnθiə/ (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is another poetic name, though rare, for the Moon personified as a goddess,[23] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) while Selene (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) /səˈliːniː/ (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (literally "Moon") is the Greek goddess of the Moon.

The usual English adjective pertaining to the Moon is "lunar", derived from the Latin word for the Moon, lūna. The adjective selenian /səliːniən/ (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[24] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) derived from the Greek word for the Moon, σελήνη selēnē, and used to describe the Moon as a world rather than as an object in the sky, is rare,[25] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) while its cognate selenic was originally a rare synonym[26] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) but now nearly always refers to the chemical element selenium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[27] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Greek word for the Moon does however provide us with the prefix seleno-, as in selenography (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the study of the physical features of the Moon, as well as the element name selenium.[28] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[29] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Greek goddess of the wilderness and the hunt, Artemis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), equated with the Roman Diana (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), one of whose symbols was the Moon and who was often regarded as the goddess of the Moon, was also called Cynthia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), from her legendary birthplace on Mount Cynthus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[30] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) These names – Luna, Cynthia and Selene – are reflected in technical terms for lunar orbits (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) such as apolune, pericynthion and selenocentric.

The Moon

Near side of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Far side of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar north pole (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar south pole (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Formation

Main articles: Origin of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Giant-impact hypothesis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Circumplanetary disk (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon formed 4.51 billion years ago,[f] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) or even 100 million years earlier, some 50 million years after the origin of the Solar System, as research published in 2019 suggests.[31] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Several forming mechanisms have been proposed,[32] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) including the fission of the Moon from Earth's crust through centrifugal force (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[33] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (which would require too great an initial rotation rate of Earth),[34] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) the gravitational capture of a pre-formed Moon[35] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (which would require an unfeasibly extended atmosphere of Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) to dissipate (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) the energy of the passing Moon),[34] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and the co-formation of Earth and the Moon together in the primordial (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) accretion disk (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (which does not explain the depletion of metals in the Moon).[34] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) These hypotheses also cannot account for the high angular momentum (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the Earth–Moon system.[36] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The evolution of the Moon and a tour of the Moon

The prevailing theory is that the Earth–Moon system formed after a giant impact (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of a Mars (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)-sized body (named Theia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)) with the proto-Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The impact blasted material into Earth's orbit and then the material accreted and formed the Moon.[37] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[38] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

This theory best explains the evidence. Eighteen months prior to an October 1984 conference on lunar origins, Bill Hartmann, Roger Phillips, and Jeff Taylor challenged fellow lunar scientists: "You have eighteen months. Go back to your Apollo data, go back to your computer, do whatever you have to, but make up your mind. Don't come to our conference unless you have something to say about the Moon's birth." At the 1984 conference at Kona, Hawaii, the giant-impact hypothesis emerged as the most consensual.

Before the conference, there were partisans of the three "traditional" theories, plus a few people who were starting to take the giant impact seriously, and there was a huge apathetic middle who didn't think the debate would ever be resolved. Afterward, there were essentially only two groups: the giant impact camp and the agnostics.[39] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Giant impacts are thought to have been common in the early Solar System. Computer simulations of giant impacts have produced results that are consistent with the mass of the lunar core and the angular momentum of the Earth–Moon system. These simulations also show that most of the Moon derived from the impactor, rather than the proto-Earth.[40] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) However, more recent simulations suggest a larger fraction of the Moon derived from the proto-Earth.[41] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[42] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[43] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[44] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Other bodies of the inner Solar System such as Mars and Vesta (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) have, according to meteorites from them, very different oxygen and tungsten isotopic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) compositions compared to Earth. However, Earth and the Moon have nearly identical isotopic compositions. The isotopic equalization of the Earth-Moon system might be explained by the post-impact mixing of the vaporized material that formed the two,[45] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) although this is debated.[46] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The impact released a lot of energy and then the released material re-accreted into the Earth–Moon system. This would have melted the outer shell of Earth, and thus formed a magma ocean.[47] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[48] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Similarly, the newly formed Moon would also have been affected and had its own lunar magma ocean (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre); its depth is estimated from about 500 km (300 miles) to 1,737 km (1,079 miles).[47] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

While the giant-impact theory explains many lines of evidence, some questions are still unresolved, most of which involve the Moon's composition.[49] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Oceanus Procellarum (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) ("Ocean of Storms")

Ancient rift valleys (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) – rectangular structure (visible – topography – GRAIL gravity gradients (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))

Ancient rift valleys (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)– context

Ancient rift valleys (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) – closeup (artist's concept)

In 2001, a team at the Carnegie Institute of Washington reported the most precise measurement of the isotopic signatures (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of lunar rocks.[50] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The rocks from the Apollo program had the same isotopic signature as rocks from Earth, differing from almost all other bodies in the Solar System. This observation was unexpected, because most of the material that formed the Moon was thought to come from Theia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and it was announced in 2007 that there was less than a 1% chance that Theia and Earth had identical isotopic signatures.[51] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Other Apollo lunar samples had in 2012 the same titanium isotopes composition as Earth,[52] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) which conflicts (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) with what is expected if the Moon formed far from Earth or is derived from Theia. These discrepancies may be explained by variations of the giant-impact theory.

Physical characteristics

The Moon is a very slightly scalene ellipsoid (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) due to tidal stretching, with its long axis displaced 30° from facing the Earth (due to gravitational anomalies from impact basins). Its shape is more elongated than current tidal forces can account for. This 'fossil bulge' indicates that the Moon solidified when it orbited at half its current distance to the Earth, and that it is now too cold for its shape to adjust to its orbit.[53] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Internal structure

Main article: Internal structure of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar surface chemical composition[54] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)CompoundFormulaCompositionMariaHighlandssilica (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)SiO245.4%45.5%alumina (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Al2O314.9%24.0%lime (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)CaO11.8%15.9%iron(II) oxide (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)FeO14.1%5.9%magnesia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)MgO9.2%7.5%titanium dioxide (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)TiO23.9%0.6%sodium oxide (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Na2O0.6%0.6% 99.9%100.0%

The Moon is a differentiated (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) body. It has a geochemically (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) distinct crust (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), mantle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and core (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The Moon has a solid iron-rich inner core with a radius possibly as small as 240 kilometres (150 mi) and a fluid outer core primarily made of liquid iron with a radius of roughly 300 kilometres (190 mi). Around the core is a partially molten boundary layer with a radius of about 500 kilometres (310 mi).[55] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[56] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This structure is thought to have developed through the fractional crystallization (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of a global magma ocean shortly after the Moon's formation 4.5 billion years ago.[57] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Crystallization of this magma ocean would have created a mafic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mantle from the precipitation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and sinking of the minerals olivine (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), clinopyroxene (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and orthopyroxene (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre); after about three-quarters of the magma ocean had crystallised, lower-density plagioclase (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) minerals could form and float into a crust atop.[58] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The final liquids to crystallise would have been initially sandwiched between the crust and mantle, with a high abundance of incompatible (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and heat-producing elements.[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Consistent with this perspective, geochemical mapping made from orbit suggests the crust of mostly anorthosite (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[12] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Moon rock (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) samples of the flood lavas that erupted onto the surface from partial melting in the mantle confirm the mafic mantle composition, which is more iron-rich than that of Earth.[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The crust is on average about 50 kilometres (31 mi) thick.[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon is the second-densest satellite in the Solar System, after Io (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[59] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) However, the inner core of the Moon is small, with a radius of about 350 kilometres (220 mi) or less,[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) around 20% of the radius of the Moon. Its composition is not well understood, but is probably metallic iron alloyed with a small amount of sulfur and nickel; analyses of the Moon's time-variable rotation suggest that it is at least partly molten.[60] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Surface geology

Main articles: Topography of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Geology of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Moon rock (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and List of lunar features (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Topographic Globe of the Moon

Geological features of the Moon (near side / north pole at left, far side / south pole at right)

Topography of the Moon

STL 3D model (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the Moon with 10× elevation exaggeration rendered with data from the Lunar Orbiter Laser Altimeter of the Lunar Reconnaissance Orbiter (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The topography of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) has been measured with laser altimetry (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and stereo image analysis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[61] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Its most visible topographic feature (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is the giant far-side South Pole–Aitken basin (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), some 2,240 km (1,390 mi) in diameter, the largest crater on the Moon and the second-largest confirmed impact crater in the Solar System (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[62] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[63] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) At 13 km (8.1 mi) deep, its floor is the lowest point on the surface of the Moon.[62] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[64] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The highest elevations of the surface are located directly to the northeast, and it has been suggested might have been thickened by the oblique formation impact of the South Pole–Aitken basin.[65] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Other large impact basins such as Imbrium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Serenitatis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Crisium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Smythii (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Orientale (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) also possess regionally low elevations and elevated rims.[62] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The far side of the lunar surface is on average about 1.9 km (1.2 mi) higher than that of the near side.[1] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The discovery of fault scarp (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) cliffs by the Lunar Reconnaissance Orbiter (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) suggest that the Moon has shrunk within the past billion years, by about 90 metres (300 ft).[66] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Similar shrinkage features exist on Mercury (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). A recent study of over 12000 images from the orbiter has observed that Mare Frigoris near the north pole, a vast basin assumed to be geologically dead, has been cracking and shifting. Since the Moon doesn't have tectonic plates, its tectonic activity is slow and cracks develop as it loses heat over the years.[67] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Volcanic features

Main article: Volcanism on the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar nearside (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) with major maria (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and craters (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) labeled

The dark and relatively featureless lunar plains, clearly seen with the naked eye, are called maria (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Latin (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) for "seas"; singular mare), as they were once believed to be filled with water;[68] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) they are now known to be vast solidified pools of ancient basaltic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) lava. Although similar to terrestrial basalts, lunar basalts have more iron and no minerals altered by water.[69] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The majority of these lavas erupted or flowed into the depressions associated with impact basins (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Several geologic provinces (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) containing shield volcanoes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and volcanic domes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) are found within the near side "maria".[70] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Evidence of young lunar volcanism (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Almost all maria are on the near side of the Moon, and cover 31% of the surface of the near side,[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) compared with 2% of the far side.[72] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This is thought to be due to a concentration of heat-producing elements (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) under the crust on the near side, seen on geochemical maps obtained by Lunar Prospector (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s gamma-ray spectrometer, which would have caused the underlying mantle to heat up, partially melt, rise to the surface and erupt.[58] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[73] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[74] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Most of the Moon's mare basalts (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) erupted during the Imbrian period, 3.0–3.5 billion years ago, although some radiometrically dated samples are as old as 4.2 billion years.[75] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Until recently, the youngest eruptions, dated by crater counting (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), appeared to have been only 1.2 billion years ago.[76] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In 2006, a study of Ina (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), a tiny depression in Lacus Felicitatis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), found jagged, relatively dust-free features that, because of the lack of erosion by infalling debris, appeared to be only 2 million years old.[77] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Moonquakes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and releases of gas also indicate some continued lunar activity.[77] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In 2014 NASA announced "widespread evidence of young lunar volcanism" at 70 irregular mare patches (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) identified by the Lunar Reconnaissance Orbiter, some less than 50 million years old. This raises the possibility of a much warmer lunar mantle than previously believed, at least on the near side where the deep crust is substantially warmer because of the greater concentration of radioactive elements.[78] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[79] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[80] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[81] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Just prior to this, evidence has been presented for 2–10 million years younger basaltic volcanism inside the crater Lowell,[82] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[83] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Orientale basin, located in the transition zone between the near and far sides of the Moon. An initially hotter mantle and/or local enrichment of heat-producing elements in the mantle could be responsible for prolonged activities also on the far side in the Orientale basin.[84] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[85] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The lighter-colored regions of the Moon are called terrae, or more commonly highlands, because they are higher than most maria. They have been radiometrically dated to having formed 4.4 billion years ago, and may represent plagioclase (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)cumulates (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the lunar magma ocean.[75] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[76] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In contrast to Earth, no major lunar mountains are believed to have formed as a result of tectonic events.[86] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The concentration of maria on the Near Side likely reflects the substantially thicker crust of the highlands of the Far Side, which may have formed in a slow-velocity impact of a second moon of Earth a few tens of millions of years after their formation.[87] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[88] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Impact craters

Further information: List of craters on the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar crater Daedalus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on the Moon's far side (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The other major geologic process that has affected the Moon's surface is impact cratering (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[89] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) with craters formed when asteroids and comets collide with the lunar surface. There are estimated to be roughly 300,000 craters wider than 1 km (0.6 mi) on the Moon's near side alone.[90] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The lunar geologic timescale (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is based on the most prominent impact events, including Nectaris (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Imbrium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Orientale (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), structures characterized by multiple rings of uplifted material, between hundreds and thousands of kilometers in diameter and associated with a broad apron of ejecta deposits that form a regional stratigraphic horizon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[91] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The lack of an atmosphere, weather and recent geological processes mean that many of these craters are well-preserved. Although only a few multi-ring basins (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) have been definitively dated, they are useful for assigning relative ages. Because impact craters accumulate at a nearly constant rate, counting the number of craters per unit area can be used to estimate the age of the surface.[91] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The radiometric ages of impact-melted rocks collected during the Apollo missions (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) cluster between 3.8 and 4.1 billion years old: this has been used to propose a Late Heavy Bombardment (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of impacts.[92] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Blanketed on top of the Moon's crust is a highly comminuted (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (broken into ever smaller particles) and impact gardened (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) surface layer called regolith (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), formed by impact processes. The finer regolith, the lunar soil (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of silicon dioxide (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) glass, has a texture resembling snow and a scent resembling spent gunpowder (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[93] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)The regolith of older surfaces is generally thicker than for younger surfaces: it varies in thickness from 10–20 km (6.2–12.4 mi) in the highlands and 3–5 km (1.9–3.1 mi) in the maria.[94] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Beneath the finely comminuted regolith layer is the megaregolith, a layer of highly fractured bedrock many kilometers thick.[95] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Comparison of high-resolution images obtained by the Lunar Reconnaissance Orbiter has shown a contemporary crater-production rate significantly higher than previously estimated. A secondary cratering process caused by distal ejecta (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is thought to churn the top two centimeters of regolith a hundred times more quickly than previous models suggested – on a timescale of 81,000 years.[96] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[97] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar swirls at Reiner Gamma (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar swirls

Main article: Lunar swirls (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar swirls are enigmatic features found across the Moon's surface. They are characterized by a high albedo, appear optically immature (i.e. the optical characteristics of a relatively young regolith), and have often a sinuous shape. Their shape is often accentuated by low albedo regions that wind between the bright swirls.

Presence of water

Main article: Lunar water (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Liquid water cannot persist on the lunar surface. When exposed to solar radiation, water quickly decomposes through a process known as photodissociation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and is lost to space. However, since the 1960s, scientists have hypothesized that water ice may be deposited by impacting comets (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) or possibly produced by the reaction of oxygen-rich lunar rocks, and hydrogen from solar wind (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), leaving traces of water which could possibly persist in cold, permanently shadowed craters at either pole on the Moon.[98] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[99] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Computer simulations suggest that up to 14,000 km2 (5,400 sq mi) of the surface may be in permanent shadow.[100] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The presence of usable quantities of water on the Moon is an important factor in rendering lunar habitation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) as a cost-effective plan; the alternative of transporting water from Earth would be prohibitively expensive.[101] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In years since, signatures of water have been found to exist on the lunar surface.[102] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In 1994, the bistatic radar experiment (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) located on the Clementine (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) spacecraft, indicated the existence of small, frozen pockets of water close to the surface. However, later radar observations by Arecibo (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), suggest these findings may rather be rocks ejected from young impact craters.[103] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In 1998, the neutron spectrometer (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on the Lunar Prospector spacecraft showed that high concentrations of hydrogen are present in the first meter of depth in the regolith near the polar regions.[104] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Volcanic lava beads, brought back to Earth aboard Apollo 15, showed small amounts of water in their interior.[105] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The 2008 Chandrayaan-1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) spacecraft has since confirmed the existence of surface water ice, using the on-board Moon Mineralogy Mapper (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The spectrometer observed absorption lines common to hydroxyl (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), in reflected sunlight, providing evidence of large quantities of water ice, on the lunar surface. The spacecraft showed that concentrations may possibly be as high as 1,000 ppm (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[106] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Using the mapper's reflectance spectra, indirect lighting of areas in shadow confirmed water ice within 20° latitude of both poles in 2018.[107] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In 2009, LCROSS (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) sent a 2,300 kg (5,100 lb) impactor into a permanently shadowed (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) polar crater, and detected at least 100 kg (220 lb) of water in a plume of ejected material.[108] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[109] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Another examination of the LCROSS data showed the amount of detected water to be closer to 155 ± 12 kg (342 ± 26 lb).[110] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In May 2011, 615–1410 ppm water in melt inclusions (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in lunar sample 74220 was reported,[111] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) the famous high-titanium "orange glass soil" of volcanic origin collected during the Apollo 17 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mission in 1972. The inclusions were formed during explosive eruptions on the Moon approximately 3.7 billion years ago. This concentration is comparable with that of magma in Earth's upper mantle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Although of considerable selenological interest, this announcement affords little comfort to would-be lunar colonists – the sample originated many kilometers below the surface, and the inclusions are so difficult to access that it took 39 years to find them with a state-of-the-art ion microprobe instrument.

Analysis of the findings of the Moon Mineralogy Mapper (M3) revealed in August 2018 for the first time "definitive evidence" for water-ice on the lunar surface.[112] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[113] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The data revealed the distinct reflective signatures of water-ice, as opposed to dust and other reflective substances.[114] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The ice deposits were found on the North and South poles, although it is more abundant in the South, where water is trapped in permanently shadowed craters and crevices, allowing it to persist as ice on the surface since they are shielded from the sun.[112] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[114] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In October 2020, astronomers reported detecting molecular water (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on the sunlit surface of the Moon by several independent spacecraft, including the Stratospheric Observatory for Infrared Astronomy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (SOFIA).[115] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[116] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[117] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[118] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Gravitational field

Main article: Gravity of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

GRAIL (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s gravity map of the Moon

The gravitational field (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the Moon has been measured through tracking the Doppler shift (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of radio signals emitted by orbiting spacecraft. The main lunar gravity features are mascons (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), large positive gravitational anomalies associated with some of the giant impact basins, partly caused by the dense mare basaltic lava flows that fill those basins.[119] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[120] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The anomalies greatly influence the orbit of spacecraft about the Moon. There are some puzzles: lava flows by themselves cannot explain all of the gravitational signature, and some mascons exist that are not linked to mare volcanism.[121] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Magnetic field

Main article: Magnetic field of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon has an external magnetic field (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of generally less than 0.2 nanoteslas (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[122] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) or less than one hundred thousandth that of Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The Moon does not currently have a global dipolar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) magnetic field and only has crustal magnetization likely acquired early in its history when a dynamo was still operating.[123] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[124] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) However, early in its history, 4 billion years ago, its magnetic field strength was likely close to that of Earth today.[122] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This early dynamo field apparently expired by about one billion years ago, after the lunar core had completely crystallized.[122] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Theoretically, some of the remnant magnetization may originate from transient magnetic fields generated during large impacts through the expansion of plasma clouds. These clouds are generated during large impacts in an ambient magnetic field. This is supported by the location of the largest crustal magnetizations situated near the antipodes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the giant impact basins.[125] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Atmosphere

Main article: Atmosphere of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Sketch by the Apollo 17 astronauts. The lunar atmosphere was later studied by LADEE (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[126] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[127] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon has an atmosphere (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) so tenuous as to be nearly vacuum (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), with a total mass of less than 10 tonnes (9.8 long tons; 11 short tons).[128] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The surface pressure of this small mass is around 3 × 10−15 atm (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (0.3 nPa (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)); it varies with the lunar day. Its sources include outgassing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and sputtering (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), a product of the bombardment of lunar soil by solar wind ions.[12] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[129] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Elements that have been detected include sodium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and potassium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), produced by sputtering (also found in the atmospheres of Mercury (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Io (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)); helium-4 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and neon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[130] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) from the solar wind; and argon-40 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), radon-222 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and polonium-210 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), outgassed after their creation by radioactive decay (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) within the crust and mantle.[131] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[132] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The absence of such neutral species (atoms or molecules) as oxygen (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), nitrogen (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), carbon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), hydrogen (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and magnesium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which are present in the regolith (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), is not understood.[131] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Water vapor has been detected by Chandrayaan-1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and found to vary with latitude, with a maximum at ~60–70 degrees; it is possibly generated from the sublimation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of water ice in the regolith.[133] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) These gases either return into the regolith because of the Moon's gravity or are lost to space, either through solar radiation pressure or, if they are ionized, by being swept away by the solar wind's magnetic field.[131] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Dust

A permanent asymmetric Moon dust (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) cloud exists around the Moon, created by small particles from comets. Estimates are 5 tons of comet particles strike the Moon's surface every 24 hours. The particles striking the Moon's surface eject Moon dust above the Moon. The dust stays above the Moon approximately 10 minutes, taking 5 minutes to rise, and 5 minutes to fall. On average, 120 kilograms of dust are present above the Moon, rising to 100 kilometers above the surface. The dust measurements were made by LADEE (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s Lunar Dust EXperiment (LDEX), between 20 and 100 kilometers above the surface, during a six-month period. LDEX detected an average of one 0.3 micrometer Moon dust particle each minute. Dust particle counts peaked during the Geminid (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Quadrantid (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Northern Taurid (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Omicron Centaurid (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) meteor showers (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), when the Earth, and Moon, pass through comet debris. The cloud is asymmetric, more dense near the boundary between the Moon's dayside and nightside.[134] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[135] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Past thicker atmosphere

In October 2017, NASA scientists at the Marshall Space Flight Center (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and the Lunar and Planetary Institute (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in Houston (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) announced their finding, based on studies of Moon magma samples retrieved by the Apollo (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) missions, that the Moon had once possessed a relatively thick atmosphere for a period of 70 million years between 3 and 4 billion years ago. This atmosphere, sourced from gases ejected from lunar volcanic eruptions, was twice the thickness of that of present-day Mars (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The ancient lunar atmosphere was eventually stripped away by solar winds and dissipated into space.[136] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Seasons

The Moon's axial tilt (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) with respect to the ecliptic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is only 1.5424°,[137] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) much less than the 23.44° of Earth. Because of this, the Moon's solar illumination varies much less with season, and topographical details play a crucial role in seasonal effects.[138] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) From images taken by Clementine (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1994, it appears that four mountainous regions on the rim of the crater Peary (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) at the Moon's north pole may remain illuminated for the entire lunar day (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), creating peaks of eternal light (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). No such regions exist at the south pole. Similarly, there are places that remain in permanent shadow at the bottoms of many polar craters,[100] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and these "craters of eternal darkness (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)" are extremely cold: Lunar Reconnaissance Orbiter measured the lowest summer temperatures in craters at the southern pole at 35 K (−238 °C; −397 °F)[139] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and just 26 K (−247 °C; −413 °F) close to the winter solstice in the north polar crater Hermite (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). This is the coldest temperature in the Solar System ever measured by a spacecraft, colder even than the surface of Pluto (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[138] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Average temperatures of the Moon's surface are reported, but temperatures of different areas will vary greatly depending upon whether they are in sunlight or shadow.[140] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Rotation

The Moon is rotating around its own axis. This rotation is due to tidal locking (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) synchronous to its orbital period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) around Earth.

The rotation period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) depends on the frame of reference. There are sidereal rotation periods (or sidereal day (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), in relation to the stars), and synodic rotation periods (or synodic day (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), in relation to the Sun). A lunar day (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is a synodic day.

Because of the tidal locked rotation, the sidereal and synodic rotation periods correspond to the sidereal (27.3 Earth days) and synodic (29.5 Earth days) orbital periods.[141] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Earth–Moon system

See also: Satellite system (astronomy) (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Other moons of Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Lunar distance

Main article: Lunar distance (astronomy) (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

This section is an excerpt from Lunar distance (astronomy) (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[edit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)]

Lunar distance (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (LD or ), also called Earth–Moon distance, Earth–Moon characteristic distance, or distance to the Moon, is a unit of measure (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in astronomy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). It is the average distance from the center of Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) to the center of the Moon. More technically, it is the mean semi-major axis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the geocentric lunar orbit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). It may also refer to the time-averaged distance between the centers of the Earth and the Moon, or less commonly, the instantaneous Earth–Moon distance. The lunar distance is approximately 400,000 km (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which is a quarter of a million miles (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) or 1.28 light-seconds (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). This is roughly Earth's circumference (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) times ten, its diameter (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) times thirty or 1/389 of Earth's distance to the Sun (the astronomical unit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)).A lunar distance, 384402 km (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), is the Moon's average distance to Earth. The actual distance varies over the course of its orbit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The image compares the Moon's apparent size (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) when it is closest (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)and farthest from Earth.

Minimum, mean and maximum distances of the Moon from Earth with its angular diameter as seen from Earth's surface, to scale

Orbit

Main articles: Orbit of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Lunar theory (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Animation of Moon's orbit around Earth from 2018 to 2027
 Moon ·   Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Earth–Moon system (schematic)

DSCOVR satellite (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) sees the Moon passing in front of Earth

The Moon makes a complete orbit around Earth with respect to the fixed stars about once every 27.3 days[g] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (its sidereal period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)). However, because Earth is moving in its orbit around the Sun at the same time, it takes slightly longer for the Moon to show the same phase (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) to Earth, which is about 29.5 days[h] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (its synodic period (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)).[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Unlike most satellites of other planets, the Moon orbits closer to the ecliptic plane (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) than to the planet's equatorial plane (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The Moon's orbit is subtly perturbed (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) by the Sun and Earth in many small, complex and interacting ways. For example, the plane of the Moon's orbit gradually rotates (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) once every 18.61 years,[142] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) which affects other aspects of lunar motion. These follow-on effects are mathematically described by Cassini's laws (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[143] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Relative size

The Moon is an exceptionally large natural satellite relative to Earth: Its diameter is more than a quarter and its mass is 1/81 of Earth's.[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) It is the largest moon in the Solar System relative to the size of its planet,[i] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) though Charon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is larger relative to the dwarf planet Pluto, at 1/9 Pluto's mass.[j] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[144] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Earth and the Moon's barycentre (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), their common center of mass, is located 1,700 km (1,100 mi) (about a quarter of Earth's radius) beneath the Earth's surface.

The Earth revolves around the Earth-Moon barycentre once a sidereal month, with 1/81 the speed of the Moon, or about 12.5 metres (41 ft) per second. This motion is superimposed on the much larger revolution of the Earth around the Sun at a speed of about 30 kilometres (19 mi) per second.

The surface area of the Moon is slightly less than the areas of North and South America (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) combined.

Appearance from Earth

A full moon appears as a half moon during an eclipse moonset over the High Desert (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in California, on the morning of the Trifecta: Full moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Supermoon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Lunar eclipse (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), January 2018 lunar eclipse (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

See also: Lunar observation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Lunar phase (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Moonlight (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Earthlight (astronomy) (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon is in synchronous rotation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) as it orbits (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Earth; it rotates about its axis in about the same time it takes to orbit Earth. This results in it always keeping nearly the same face turned towards Earth. However, because of the effect of libration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), about 59% of the Moon's surface can actually be seen from Earth. The side of the Moon that faces Earth is called the near side (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and the opposite the far side (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The far side is often inaccurately called the "dark side", but it is in fact illuminated as often as the near side: once every 29.5 Earth days. During new moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the near side is dark.[145] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon had once rotated at a faster rate, but early in its history its rotation slowed and became tidally locked (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in this orientation as a result of frictional (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) effects associated with tidal (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) deformations caused by Earth.[146] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) With time, the energy of rotation of the Moon on its axis was dissipated as heat, until there was no rotation of the Moon relative to Earth. In 2016, planetary scientists using data collected on the much earlier NASA Lunar Prospector (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mission, found two hydrogen-rich areas (most likely former water ice) on opposite sides of the Moon. It is speculated that these patches were the poles of the Moon billions of years ago before it was tidally locked to Earth.[147] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon is prominently featured in Vincent van Gogh (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s 1889 painting, The Starry Night (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon has an exceptionally low albedo (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), giving it a reflectance (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) that is slightly brighter than that of worn asphalt (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Despite this, it is the brightest object in the sky after the Sun (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[k] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This is due partly to the brightness enhancement of the opposition surge (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre); the Moon at quarter phase is only one-tenth as bright, rather than half as bright, as at full moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[148] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Additionally, color constancy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in the visual system (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) recalibrates the relations between the colors of an object and its surroundings, and because the surrounding sky is comparatively dark, the sunlit Moon is perceived as a bright object. The edges of the full moon seem as bright as the center, without limb darkening (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), because of the reflective properties (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of lunar soil (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which retroreflects (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) light more towards the Sun than in other directions. The Moon does appear larger when close to the horizon, but this is a purely psychological effect, known as the moon illusion (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), first described in the 7th century BC.[149] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The full Moon's angular diameter (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is about 0.52° (on average) in the sky, roughly the same apparent size as the Sun (see § Eclipses (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)).

The Moon's highest altitude (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) at culmination (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) varies by its phase (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and time of year. The full moon is highest in the sky during winter (for each hemisphere). The orientation of the Moon's crescent (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) also depends on the latitude of the viewing location; an observer in the tropics (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) can see a smile-shaped crescent (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Moon.[150] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Moon is visible for two weeks every 27.3 days at the North (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and South Poles (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Zooplankton (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in the Arctic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) use moonlight (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) when the Sun is below the horizon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) for months on end.[151] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

14 November 2016 supermoon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was 356,511 kilometres (221,526 mi) away[152] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) from the center of Earth, the closest occurrence since 26 January 1948. It will not be closer until 25 November 2034.[153] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The distance between the Moon and Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) varies from around 356,400 km (221,500 mi) to 406,700 km (252,700 mi) at perigee (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (closest) and apogee (farthest), respectively. On 14 November 2016, it was closer to Earth when at full phase than it has been since 1948, 14% closer than its farthest position in apogee.[154] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Reported as a "supermoon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)", this closest point coincided within an hour of a full moon, and it was 30% more luminous than when at its greatest distance because its angular diameter is 14% greater and .[155] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[156] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[157] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) At lower levels, the human perception of reduced brightness as a percentage is provided by the following formula:[158] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[159] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

When the actual reduction is 1.00 / 1.30, or about 0.770, the perceived reduction is about 0.877, or 1.00 / 1.14. This gives a maximum perceived increase of 14% between apogee and perigee moons of the same phase.[160] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

There has been historical controversy over whether features on the Moon's surface change over time. Today, many of these claims are thought to be illusory, resulting from observation under different lighting conditions, poor astronomical seeing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), or inadequate drawings. However, outgassing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) does occasionally occur and could be responsible for a minor percentage of the reported lunar transient phenomena (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Recently, it has been suggested that a roughly 3 km (1.9 mi) diameter region of the lunar surface was modified by a gas release event about a million years ago.[161] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[162] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon's appearance, like the Sun's, can be affected by Earth's atmosphere (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Common optical effects are the 22° halo ring (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), formed when the Moon's light is refracted through the ice crystals (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of high cirrostratus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) clouds, and smaller coronal rings (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) when the Moon is seen through thin clouds.[163] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The monthly changes in the angle between the direction of sunlight and view from Earth, and the phases of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) that result, as viewed from the Northern Hemisphere (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The Earth–Moon distance (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is not to scale.

The illuminated area of the visible sphere (degree of illumination) is given by , where is the elongation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (i.e., the angle between Moon, the observer (on Earth) and the Sun).

Tidal effects

Main articles: Tidal force (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Tidal acceleration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Tide (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Theory of tides (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The libration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the Moon over a single lunar month. Also visible is the slight variation in the Moon's visual size from Earth.

The gravitational attraction that masses have for one another decreases inversely with the square of the distance of those masses from each other. As a result, the slightly greater attraction that the Moon has for the side of Earth closest to the Moon, as compared to the part of the Earth opposite the Moon, results in tidal forces (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Tidal forces affect both the Earth's crust and oceans.

The most obvious effect of tidal forces is to cause two bulges in the Earth's oceans, one on the side facing the Moon and the other on the side opposite. This results in elevated sea levels called ocean tides (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[164] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) As the Earth rotates on its axis, one of the ocean bulges (high tide) is held in place "under" the Moon, while another such tide is opposite. As a result, there are two high tides, and two low tides in about 24 hours.[164] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Since the Moon is orbiting the Earth in the same direction of the Earth's rotation, the high tides occur about every 12 hours and 25 minutes; the 25 minutes is due to the Moon's time to orbit the Earth. The Sun has the same tidal effect on the Earth, but its forces of attraction are only 40% that of the Moon's; the Sun's and Moon's interplay is responsible for spring and neap tides (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[164] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) If the Earth were a water world (one with no continents) it would produce a tide of only one meter, and that tide would be very predictable, but the ocean tides are greatly modified by other effects: the frictional coupling of water to Earth's rotation through the ocean floors, the inertia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of water's movement, ocean basins that grow shallower near land, the sloshing of water between different ocean basins.[165] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) As a result, the timing of the tides at most points on the Earth is a product of observations that are explained, incidentally, by theory.

While gravitation causes acceleration and movement of the Earth's fluid oceans, gravitational coupling between the Moon and Earth's solid body is mostly elastic and plastic. The result is a further tidal effect of the Moon on the Earth that causes a bulge of the solid portion of the Earth nearest the Moon that acts as a torque (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in opposition to the Earth's rotation. This "drains" angular momentum (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and rotational kinetic energy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) from Earth's rotation, slowing the Earth's rotation.[164] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[166] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) That angular momentum, lost from the Earth, is transferred to the Moon in a process (confusingly known as tidal acceleration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)), which lifts the Moon into a higher orbit and results in its lower orbital speed about the Earth. Thus the distance between Earth and Moon is increasing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and the Earth's rotation is slowing in reaction.[166] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Measurements from laser reflectors left during the Apollo missions (lunar ranging experiments (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)) have found that the Moon's distance increases by 38 mm (1.5 in) per year[167] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (roughly the rate at which human fingernails grow).[168] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Atomic clocks (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)also show that Earth's day lengthens by about 15 microseconds (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) every year,[169] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) slowly increasing the rate at which UTC (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is adjusted by leap seconds (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Left to run its course, this tidal drag would continue until the rotation of Earth and the orbital period of the Moon matched, creating mutual tidal locking between the two. As a result, the Moon would be suspended in the sky over one meridian, as is already currently the case with Pluto and its moon Charon. However, the Sun will become a red giant (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) engulfing the Earth-Moon system long before this occurrence.[170] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[171] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) If it were to happen, the rotation of the earth would continue to slow down because of the tides caused by the sun. With the day longer than the month, the moon would move slowly from west to east in the sky. The tides caused by the moon would then cause the opposite effect from before, and the moon would get closer to the earth. Eventually it would come within the Roche limit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and be broken up into a ring (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

In a like manner, the lunar surface experiences tides of around 10 cm (4 in) amplitude over 27 days, with two components: a fixed one due to Earth, because they are in synchronous rotation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and a varying component from the Sun.[166] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Earth-induced component arises from libration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), a result of the Moon's orbital eccentricity (if the Moon's orbit were perfectly circular, there would only be solar tides).[166] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Libration also changes the angle from which the Moon is seen, allowing a total of about 59% of its surface to be seen from Earth over time.[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The cumulative effects of stress built up by these tidal forces produces moonquakes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Moonquakes are much less common and weaker than are earthquakes, although moonquakes can last for up to an hour – significantly longer than terrestrial quakes – because of the absence of water to damp out the seismic vibrations. The existence of moonquakes was an unexpected discovery from seismometers (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) placed on the Moon by Apollo (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) astronauts (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) from 1969 through 1972.[172] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

According to recent research, scientists suggest that the Moon's influence on the Earth may contribute to maintaining Earth's magnetic field (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[173] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Eclipses

Main articles: Solar eclipse (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Lunar eclipse (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Eclipse cycle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

From Earth, the Moon and the Sun appear the same size, as seen in the 1999 solar eclipse (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (left), whereas from the STEREO-B (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) spacecraft in an Earth-trailing orbit, the Moon appears much smaller than the Sun (right).[174] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Eclipses only occur when the Sun, Earth, and Moon are all in a straight line (termed "syzygy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)"). Solar eclipses (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) occur at new moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), when the Moon is between the Sun and Earth. In contrast, lunar eclipses (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) occur at full moon, when Earth is between the Sun and Moon. The apparent size of the Moon is roughly the same as that of the Sun, with both being viewed at close to one-half a degree wide. The Sun is much larger than the Moon but it is the vastly greater distance that gives it the same apparent size as the much closer and much smaller Moon from the perspective of Earth. The variations in apparent size, due to the non-circular orbits, are nearly the same as well, though occurring in different cycles. This makes possible both total (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (with the Moon appearing larger than the Sun) and annular (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (with the Moon appearing smaller than the Sun) solar eclipses.[175] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In a total eclipse, the Moon completely covers the disc of the Sun and the solar corona (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) becomes visible to the naked eye (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Because the distance between the Moon and Earth is very slowly increasing over time,[164] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) the angular diameter of the Moon is decreasing. Also, as it evolves toward becoming a red giant (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the size of the Sun, and its apparent diameter in the sky, are slowly increasing.[l] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)The combination of these two changes means that hundreds of millions of years ago, the Moon would always completely cover the Sun on solar eclipses, and no annular eclipses were possible. Likewise, hundreds of millions of years in the future, the Moon will no longer cover the Sun completely, and total solar eclipses will not occur.[176] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Because the Moon's orbit around Earth is inclined by about 5.145° (5° 9') to the orbit of Earth around the Sun (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), eclipses do not occur at every full and new moon. For an eclipse to occur, the Moon must be near the intersection of the two orbital planes.[177] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The periodicity and recurrence of eclipses of the Sun by the Moon, and of the Moon by Earth, is described by the saros (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which has a period of approximately 18 years.[178] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Because the Moon continuously blocks the view of a half-degree-wide circular area of the sky,[m] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[179] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) the related phenomenon of occultation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) occurs when a bright star or planet passes behind the Moon and is occulted: hidden from view. In this way, a solar eclipse is an occultation of the Sun. Because the Moon is comparatively close to Earth, occultations of individual stars are not visible everywhere on the planet, nor at the same time. Because of the precession (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the lunar orbit, each year different stars are occulted.[180] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Observation and exploration

Main articles: Exploration of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), List of spacecraft that orbited the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), List of missions to the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and List of lunar probes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

See also: Timeline of Solar System exploration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Before spaceflight

Main article: Exploration of the Moon: Before spaceflight (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Map of the Moon by Johannes Hevelius (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) from his Selenographia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (1647), the first map to include the libration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)zones

A study of the Moon in Robert Hooke's (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Micrographia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 1665

One of the earliest-discovered possible depictions of the Moon is a 5000-year-old rock carving Orthostat 47 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) at Knowth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Ireland.[181] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[182] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Understanding of the Moon's cycles was an early development of astronomy: by the 5th century BC, Babylonian astronomers (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) had recorded the 18-year Saros cycle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of lunar eclipses (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[183] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Indian astronomers (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) had described the Moon's monthly elongation.[184] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Chinese astronomer (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Shi Shen (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)(fl. 4th century BC) gave instructions for predicting solar and lunar eclipses.[185] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)(p411) Later, the physical form of the Moon and the cause of moonlight (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)became understood. The ancient Greek (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) philosopher Anaxagoras (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (d. 428 BC) reasoned that the Sun and Moon were both giant spherical rocks, and that the latter reflected the light of the former.[186] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[185] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)(p227) Although the Chinese of the Han Dynasty (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) believed the Moon to be energy equated to qi (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), their 'radiating influence' theory also recognized that the light of the Moon was merely a reflection of the Sun, and Jing Fang (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (78–37 BC) noted the sphericity of the Moon.[185] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)(pp413–414) In the 2nd century AD, Lucian (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) wrote the novel A True Story (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), in which the heroes travel to the Moon and meet its inhabitants. In 499 AD, the Indian astronomer Aryabhata (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mentioned in his Aryabhatiya (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) that reflected sunlight is the cause of the shining of the Moon.[187] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The astronomer and physicist Alhazen (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (965–1039) found that sunlight (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was not reflected from the Moon like a mirror, but that light was emitted from every part of the Moon's sunlit surface in all directions.[188] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Shen Kuo (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (1031–1095) of the Song dynasty (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) created an allegory equating the waxing and waning of the Moon to a round ball of reflective silver that, when doused with white powder and viewed from the side, would appear to be a crescent.[185] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)(pp415–416)

Galileo (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s sketches of the Moon from Sidereus Nuncius (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In Aristotle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s (384–322 BC) description of the universe (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the Moon marked the boundary between the spheres of the mutable elements (earth, water, air and fire), and the imperishable stars of aether (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), an influential philosophy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) that would dominate for centuries.[189] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) However, in the 2nd century BC, Seleucus of Seleucia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) correctly theorized that tides (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) were due to the attraction of the Moon, and that their height depends on the Moon's position relative to the Sun (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[190] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In the same century, Aristarchus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) computed the size and distance (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the Moon from Earth, obtaining a value of about twenty times the radius of Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) for the distance. These figures were greatly improved by Ptolemy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (90–168 AD): his values of a mean distance of 59 times Earth's radius and a diameter of 0.292 Earth diameters were close to the correct values of about 60 and 0.273 respectively.[191] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Archimedes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (287–212 BC) designed a planetarium that could calculate the motions of the Moon and other objects in the Solar System.[192] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

During the Middle Ages (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), before the invention of the telescope, the Moon was increasingly recognised as a sphere, though many believed that it was "perfectly smooth".[193] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In 1609, Galileo Galilei (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) drew one of the first telescopic drawings of the Moon in his book Sidereus Nuncius (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and noted that it was not smooth but had mountains and craters. Thomas Harriot (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) had made, but not published such drawings a few months earlier. Telescopic mapping of the Moon followed: later in the 17th century, the efforts of Giovanni Battista Riccioli (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Francesco Maria Grimaldi (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) led to the system of naming of lunar features in use today. The more exact 1834–36 Mappa Selenographica of Wilhelm Beer (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Johann Heinrich Mädler (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and their associated 1837 book Der Mond, the first trigonometrically (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) accurate study of lunar features, included the heights of more than a thousand mountains, and introduced the study of the Moon at accuracies possible in earthly geography.[194] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Lunar craters, first noted by Galileo, were thought to be volcanic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) until the 1870s proposal of Richard Proctor (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)that they were formed by collisions.[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This view gained support in 1892 from the experimentation of geologist Grove Karl Gilbert (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and from comparative studies from 1920 to the 1940s,[195] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) leading to the development of lunar stratigraphy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which by the 1950s was becoming a new and growing branch of astrogeology (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

1959–1970s

See also: Space Race (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Moon landing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Between the first human arrival with the robotic Soviet (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Luna program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1958, to the 1970s with the last Missions of the crewed U.S. (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Apollo landings (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and last Luna mission in 1976, the Cold War (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)-inspired Space Race (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) between the Soviet Union and the U.S. led to an acceleration of interest in exploration of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Once launchers had the necessary capabilities, these nations sent uncrewed probes on both flyby and impact/lander missions.

Soviet missions

Main articles: Luna program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Lunokhod programme (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

First view in history of the far side of the Moon, taken by Luna 3 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 7 October 1959

A model of Soviet Moon rover Lunokhod 1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Spacecraft from the Soviet Union's Luna program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) were the first to accomplish a number of goals: following three unnamed, failed missions in 1958,[196] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) the first human-made object to escape Earth's gravity and pass near the Moon was Luna 1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre); the first human-made object to impact the lunar surface was Luna 2 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and the first photographs of the normally occluded far side of the Moon were made by Luna 3 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), all in 1959.

Stamp with a drawing of the first soft landed probe Luna 9 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), next to the first view of the lunar surface photographed by the probe

The first spacecraft to perform a successful lunar soft landing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was Luna 9 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and the first uncrewed vehicle to orbit the Moon was Luna 10 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), both in 1966.[71] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Rock and soil samples (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) were brought back to Earth by three Luna sample return missions (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Luna 16 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1970, Luna 20 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1972, and Luna 24 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1976), which returned 0.3 kg total.[197] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Two pioneering robotic rovers (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) landed on the Moon in 1970 and 1973 as a part of Soviet Lunokhod programme (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Luna 24 was the last Soviet mission to the Moon.

United States missions

Main articles: Apollo program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Moon landing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Earthrise (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Apollo 8 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 1968, taken by William Anders (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))

Moon rock (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Apollo 17 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 1972)

During the late 1950s at the height of the Cold War, the United States Army conducted a classified feasibility study (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) that proposed the construction of a staffed military outpost on the Moon called Project Horizon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) with the potential to conduct a wide range of missions from scientific research to nuclear Earth bombardment. The study included the possibility of conducting a lunar-based nuclear test.[198] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[199] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Air Force, which at the time was in competition with the Army for a leading role in the space program, developed its own similar plan called Lunex (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[200] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[201] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[198] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) However, both these proposals were ultimately passed over as the space program was largely transferred from the military to the civilian agency NASA.[201] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Following President John F. Kennedy (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s 1961 commitment to a human moon landing before the end of the decade, the United States, under NASA leadership, launched a series of uncrewed probes to develop an understanding of the lunar surface in preparation for human missions: the Jet Propulsion Laboratory (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s Ranger program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) produced the first close-up pictures; the Lunar Orbiter program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) produced maps of the entire Moon; the Surveyor program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)landed its first spacecraft (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) four months after Luna 9. The crewed Apollo program was developed in parallel; after a series of uncrewed and crewed tests of the Apollo spacecraft in Earth orbit, and spurred on by a potential Soviet lunar human landing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), in 1968 Apollo 8 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) made the first human mission to lunar orbit. The subsequent landing of the first humans on the Moon in 1969 is seen by many as the culmination of the Space Race.[202] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Neil Armstrong (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) working at the Lunar Module Eagle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) during Apollo 11 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (1969)

"That's one small step ..." (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

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Neil Armstrong (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) became the first person to walk on the Moon as the commander of the American mission Apollo 11 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) by first setting foot on the Moon at 02:56 UTC on 21 July 1969.[203] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) An estimated 500 million people worldwide watched the transmission by the Apollo TV camera (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the largest television audience for a live broadcast at that time.[204] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[205] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Apollo missions 11 to 17 (except Apollo 13 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which aborted its planned lunar landing) removed 380.05 kilograms (837.87 lb) of lunar rock and soil in 2,196 separate samples.[206] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The American Moon landing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and return was enabled by considerable technological advances in the early 1960s, in domains such as ablation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) chemistry, software engineering (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and atmospheric re-entry (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) technology, and by highly competent management of the enormous technical undertaking.[207] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[208] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Scientific instrument packages were installed on the lunar surface during all the Apollo landings. Long-lived instrument stations (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), including heat flow probes, seismometers (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and magnetometers (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), were installed at the Apollo 12 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 14 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 15 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 16 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and 17 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) landing sites. Direct transmission of data to Earth concluded in late 1977 because of budgetary considerations,[209] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[210] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)but as the stations' lunar laser ranging (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) corner-cube retroreflector arrays are passive instruments, they are still being used. Ranging to the stations is routinely performed from Earth-based stations with an accuracy of a few centimeters, and data from this experiment are being used to place constraints on the size of the lunar core.[211] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

1970s – present

An artificially (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) colored mosaic constructed from a series of 53 images taken through three spectral filters (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) by Galileo' s imaging system as the spacecraft flew over the northern regions of the Moon on 7 December 1992.

After the Moon race the focus of astronautic exploration shifted in the 1970s with probes like Pioneer 10 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and the Voyager program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) towards the outer solar system (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Years of near lunar quietude followed, only broken by a beginning internationalization of space and the Moon through for example the negotiation of the Moon treaty (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Since the 1990s, many more countries have become involved in direct exploration of the Moon. In 1990, Japan became the third country to place a spacecraft into lunar orbit with its Hiten (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) spacecraft. The spacecraft released a smaller probe, Hagoromo, in lunar orbit, but the transmitter failed, preventing further scientific use of the mission.[212] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In 1994, the U.S. sent the joint Defense Department/NASA spacecraft Clementine (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) to lunar orbit. This mission obtained the first near-global topographic map of the Moon, and the first global multispectral (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) images of the lunar surface.[213] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This was followed in 1998 by the Lunar Prospector (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mission, whose instruments indicated the presence of excess hydrogen at the lunar poles, which is likely to have been caused by the presence of water ice in the upper few meters of the regolith within permanently shadowed craters.[214] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

As viewed by Chandrayaan-1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s NASA Moon Mineralogy Mapper equipment, on the right, the first time discovered water-rich minerals (light blue), shown around a small crater from which it was ejected.

The European spacecraft SMART-1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the second ion-propelled (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) spacecraft, was in lunar orbit from 15 November 2004 until its lunar impact on 3 September 2006, and made the first detailed survey of chemical elements on the lunar surface.[215] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The ambitious Chinese Lunar Exploration Program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) began with Chang'e 1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), which successfully orbited the Moon from 5 November 2007 until its controlled lunar impact on 1 March 2009.[216] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) It obtained a full image map of the Moon.  Chang'e 2 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), beginning in October 2010, reached the Moon more quickly, mapped the Moon at a higher resolution over an eight-month period, then left lunar orbit for an extended stay at the Earth–Sun L2 Lagrangian point (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), before finally performing a flyby of asteroid 4179 Toutatis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on 13 December 2012, and then heading off into deep space. On 14 December 2013, Chang'e 3 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) landed a lunar lander (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) onto the Moon's surface, which in turn deployed a lunar rover (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), named Yutu (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Chinese: 玉兔; literally "Jade Rabbit"). This was the first lunar soft landing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) since Luna 24 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1976, and the first lunar rover mission since Lunokhod 2 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 1973. Another rover mission (Chang'e 4 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)) was launched in 2019, becoming the first ever spacecraft to land on the Moon's far side. China intends to following this up with a sample return mission (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Chang'e 5 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)) in 2020.[217] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Between 4 October 2007 and 10 June 2009, the Japan Aerospace Exploration Agency (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s Kaguya (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Selene) mission, a lunar orbiter fitted with a high-definition video (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) camera, and two small radio-transmitter satellites, obtained lunar geophysics data and took the first high-definition movies from beyond Earth orbit.[218] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[219] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) India's first lunar mission, Chandrayaan-1 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), orbited from 8 November 2008 until loss of contact on 27 August 2009, creating a high-resolution chemical, mineralogical and photo-geological map of the lunar surface, and confirming the presence of water molecules in lunar soil (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[220] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Indian Space Research Organisation (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) planned to launch Chandrayaan-2 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 2013, which would have included a Russian robotic lunar rover.[221] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[222] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) However, the failure of Russia's Fobos-Grunt (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mission has delayed this project, and was launched on 22 July 2019. The lander Vikram attempted to land on the lunar south pole region (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on 6 September, but lost the signal in 2.1 km (1.3 mi). What happened after that is unknown.

Copernicus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s central peaks as observed by the LRO (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), 2012

The Ina (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) formation, 2009

The U.S. co-launched the Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) and the LCROSS (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) impactor and follow-up observation orbiter on 18 June 2009; LCROSScompleted its mission by making a planned and widely observed impact in the crater Cabeus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on 9 October 2009,[223] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) whereas LRO is currently in operation, obtaining precise lunar altimetry (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and high-resolution imagery. In November 2011, the LRO passed over the large and bright crater Aristarchus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). NASA released photos of the crater on 25 December 2011.[224] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Two NASA GRAIL (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) spacecraft began orbiting the Moon around 1 January 2012,[225] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on a mission to learn more about the Moon's internal structure. NASA's LADEE (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) probe, designed to study the lunar exosphere (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), achieved orbit on 6 October 2013.

Future

See also: List of proposed missions to the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Upcoming lunar missions include Russia's Luna-Glob (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre): an uncrewed lander with a set of seismometers, and an orbiter based on its failed Martian Fobos-Grunt (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mission.[226] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Privately funded lunar exploration has been promoted by the Google Lunar X Prize (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), announced 13 September 2007, which offers US$20 million to anyone who can land a robotic rover on the Moon and meet other specified criteria.[227] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Shackleton Energy Company (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is building a program to establish operations on the south pole of the Moon to harvest water and supply their Propellant Depots (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[228] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

NASA began to plan to resume human missions (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) following the call by U.S. President George W. Bush (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on 14 January 2004 for a human mission to the Moon by 2019 and the construction of a lunar base by 2024.[229] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The Constellation program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was funded and construction and testing begun on a crewed spacecraft (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and launch vehicle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[230] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and design studies for a lunar base.[231] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) However, that program has been canceled in favor of a human asteroid landing by 2025 and a human Mars orbit by 2035.[232] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) India (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) has also expressed its hope to send people to the Moon by 2020.[233] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

On 28 February 2018, SpaceX (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Vodafone (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Nokia (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Audi (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) announced a collaboration to install a 4G (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) wireless communication network on the Moon, with the aim of streaming live footage on the surface to Earth.[234] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Recent reports also indicate NASA's intent to send a woman astronaut to the Moon in their planned mid-2020s mission.[235] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Planned commercial missions

In 2007, the X Prize Foundation together with Google (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) launched the Google Lunar X Prize (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) to encourage commercial endeavors to the Moon. A prize of $20 million was to be awarded to the first private venture to get to the Moon with a robotic lander by the end of March 2018, with additional prizes worth $10 million for further milestones.[236] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[237] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) As of August 2016, 16 teams were reportedly participating in the competition.[238] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In January 2018 the foundation announced that the prize would go unclaimed as none of the finalist teams would be able to make a launch attempt by the deadline.[239] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In August 2016, the US government granted permission to US-based start-up Moon Express to land on the Moon.[240] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This marked the first time that a private enterprise was given the right to do so. The decision is regarded as a precedent helping to define regulatory standards for deep-space commercial activity in the future, as thus far companies' operation had been restricted to being on or around Earth.[240] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

On 29 November 2018 NASA announced that nine commercial companies would compete to win a contract to send small payloads to the Moon in what is known as Commercial Lunar Payload Services (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). According to NASA administrator Jim Bridenstine (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), "We are building a domestic American capability to get back and forth to the surface of the moon.".[241] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Human presence

See also: Human presence in space (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Human impact

See also: List of artificial objects on the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Space art § Art in space (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Planetary protection § Category V (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Remains of human activity, Apollo 17's Lunar Surface Experiments Package (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Beside the traces of human activity on the Moon, there have been some intended permanent installations like the Moon Museum (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) art piece, Apollo 11 goodwill messages (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Lunar plaque (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the Fallen Astronaut (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) memorial, and other artifacts.

Fallen Astronaut (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Infrastructure

Main article: Moonbase (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

See also: Space infrastructure (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Tourism on the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Colonization of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

A photo of the still in use reflector of the Lunar Laser Ranging Experiment (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of Apollo 11 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Longterm missions continuing to be active are some orbiters such as the 2009 launched Lunar Reconnaissance Orbiter (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) surveiling the Moon for future missions, as well as some Landers such as the 2013 launched Chang'e 3 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) with its Lunar Ultraviolet Telescope still operational.[242] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

There are several missions by different agencies and companies planned (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) to establish a longterm human presence on the Moon, with the Lunar Gateway (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) as the currently most advanced project as part of the Artemis program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

Concept art of the Lunar Gateway (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of the Artemis program (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in 2024 serving as a communication hub, science laboratory, short-term habitation and holding area for rovers in lunar orbit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[243] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Astronomy from the Moon

A false-color image of Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in ultraviolet light (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) taken from the surface of the Moon on the Apollo 16 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mission. The day-side reflects a large amount of UV light from the Sun, but the night-side shows faint bands of UV emission from the aurora (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) caused by charged particles.[244] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

For many years, the Moon has been recognized as an excellent site for telescopes.[245] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) It is relatively nearby; astronomical seeing (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is not a concern; certain craters near the poles are permanently dark and cold, and thus especially useful for infrared telescopes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre); and radio telescopes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on the far side would be shielded from the radio chatter of Earth.[246] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The lunar soil (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), although it poses a problem for any moving parts of telescopes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), can be mixed with carbon nanotubes (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and epoxies (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and employed in the construction of mirrors up to 50 meters in diameter.[247] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) A lunar zenith telescope (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) can be made cheaply with an ionic liquid (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[248] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In April 1972, the Apollo 16 (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mission recorded various astronomical photos and spectra in ultraviolet with the Far Ultraviolet Camera/Spectrograph (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[249] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Living on the Moon

Humans have stayed for days on the Moon, such as during Apollo 17.[250] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) One particular challenge for astronauts' daily life during their stay on the surface is the lunar dust (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) sticking to their suits and being carried into their quarters. Subsequently, the dust was tasted and smelled by the astronauts, calling it the "Apollo aroma".[251] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This contamination poses a danger since the fine lunar dust can cause health issues (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[251] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In 2019 at least one plant seed sprouted in an experiment, carried along with other small life from Earth on the Chang'e 4 lander (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in its Lunar Micro Ecosystem.[252] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Legal status

Main article: Space law (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Although Luna (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) landers scattered pennants of the Soviet Union (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) on the Moon, and U.S. flags (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) were symbolically planted at their landing sites by the Apollo astronauts (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), no nation claims ownership of any part of the Moon's surface.[253] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Russia, China, India, and the U.S. are party to the 1967 Outer Space Treaty (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[254] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) which defines the Moon and all outer space as the "province of all mankind (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)".[253] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) This treaty also restricts the use of the Moon to peaceful purposes, explicitly banning military installations and weapons of mass destruction (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[255] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The 1979 Moon Agreement (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was created to restrict the exploitation of the Moon's resources (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) by any single nation, but as of January 2020, it has been signed and ratified by only 18 nations,[256] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) none of which engages in self-launched human space exploration (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Although several individuals have made claims to the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in whole or in part, none of these are considered credible.[257] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[258] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[259] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In 2020, U.S. President Donald Trump (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) signed an executive order called "Encouraging International Support for the Recovery and Use of Space Resources". The order emphasizes that "the United States does not view outer space as a 'global commons'" and calls the Moon Agreement "a failed attempt at constraining free enterprise."[260] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[261] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Declaration of the Rights of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was created by a group of independent researchers in 2021, drawing on precedents in the Rights of Nature (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) movement and the concept of legal personality for non-human entities in space[262] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

In culture

Luna, the Moon, from a 1550 edition of Guido Bonatti (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)'s Liber astronomiae

See also: Moon in fiction (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Tourism on the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Mythology

Further information: Lunar deity (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Selene (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Luna (goddess) (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Man in the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Crescent (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Statue of Chandraprabha (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (meaning "as charming as the moon"), the eighth Tirthankara (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) in Jainism (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), with the symbol of a crescent (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) moon below it

Sun and Moon with faces (1493 woodcut)

The contrast between the brighter highlands and the darker maria creates the patterns seen by different cultures as the Man in the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the rabbit (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)and the buffalo, among others. In many prehistoric and ancient cultures, the Moon was personified as a deity (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) or other supernatural (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) phenomenon, and astrological views of the Moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) continue to be propagated today.

In Proto-Indo-European religion (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the Moon was personified as the male god *Meh1not (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[263] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The ancient Sumerians (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) believed that the Moon was the god Nanna (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[264] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[265] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) who was the father of Inanna (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the goddess of the planet Venus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre),[264] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[265] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Utu (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the god of the sun.[264] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[265] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Nanna was later known as Sîn,[265] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[264] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and was particularly associated with magic and sorcery.[264] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In Greco-Roman mythology (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the Sun and the Moon are represented as male and female, respectively (Helios/Sol (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Selene/Luna (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre));[263] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) this is a development unique to the eastern Mediterranean[263] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and traces of an earlier male moon god in the Greek tradition are preserved in the figure of Menelaus (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[263] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

In Mesopotamian iconography, the crescent (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was the primary symbol of Nanna-Sîn.[265] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) In ancient Greek art (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), the Moon goddess Selene (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) was represented wearing a crescent on her headgear in an arrangement reminiscent of horns.[266] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[267] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The star and crescent (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) arrangement also goes back to the Bronze Age, representing either the Sun and Moon, or the Moon and planet Venus, in combination. It came to represent the goddess Artemis (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) or Hecate (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and via the patronage of Hecate came to be used as a symbol of Byzantium (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).

An iconographic tradition of representing Sun and Moon with faces developed in the late medieval period.

The splitting of the moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Arabic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre): انشقاق القمر‎) is a miracle attributed to Muhammad (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[268] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) A song titled 'Moon Anthem' was released on the occasion of landing of India's Chandrayan-II on the Moon.[269] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Calendar

Further information: Lunar calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Lunisolar calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Metonic cycle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Blue moon (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), and Movable feast (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The Moon's regular phases make it a very convenient timepiece, and the periods of its waxing and waning form the basis of many of the oldest calendars. Tally sticks (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), notched bones dating as far back as 20–30,000 years ago, are believed by some to mark the phases of the Moon.[270] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[271] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[272] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The ~30-day month is an approximation of the lunar cycle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The English noun month and its cognates in other Germanic languages stem from Proto-Germanic *mǣnṓth-, which is connected to the above-mentioned Proto-Germanic *mǣnōn, indicating the usage of a lunar calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) among the Germanic peoples (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (Germanic calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)) prior to the adoption of a solar calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre).[273] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) The PIE root (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) of moon, *méh1nōt, derives from the PIE verbal root *meh1-, "to measure", "indicat[ing] a functional conception of the Moon, i.e. marker of the month" (cf. (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) the English words measure and menstrual),[274] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[275] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[276] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and echoing the Moon's importance to many ancient cultures in measuring time (see Latin (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) mensis and Ancient Greek (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) μείς (meis) or μήν (mēn), meaning "month").[277] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[278] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[279] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[280] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)Most historical calendars are lunisolar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). The 7th-century Islamic calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) is an exceptional example of a purely lunar calendar (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre). Months are traditionally determined by the visual sighting of the hilal, or earliest crescent moon, over the horizon.[281] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Moonrise, 1884, painting by Stanisław Masłowski (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (National Museum, Kraków (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre), Gallery of Sukiennice Museum (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre))

Lunar effect

Main article: Lunar effect (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

The lunar effect is a purported unproven correlation between specific stages of the roughly 29.5-day lunar cycle and behavior and physiological changes in living beings on Earth, including humans.

The Moon has long been particularly associated with insanity and irrationality; the words lunacy and lunatic (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) (popular shortening loony) are derived from the Latin name for the Moon, Luna. Philosophers Aristotle (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) and Pliny the Elder (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) argued that the full moon induced insanity in susceptible individuals, believing that the brain, which is mostly water, must be affected by the Moon and its power over the tides, but the Moon's gravity is too slight to affect any single person.[282] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) Even today, people who believe in a lunar effect (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre) claim that admissions to psychiatric hospitals, traffic accidents, homicides or suicides increase during a full moon, but dozens of studies invalidate these claims.[282] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[283] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[284] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[285] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)[286] (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

Notes

References

Citations

Further reading

External links

Moonat Wikipedia's sister projects (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

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General

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The Moon

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Earth (S'ouvre dans une nouvelle fenêtre)

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